Jeu débile qui consiste à flooder

1830

et bin quelle nuit pour toi veinard va

1831, te voilà lyrique Jef !

1832

Mais ce n'était pas une envolée... un essor... je vole encore!!!!!!
On me harcèle de questions jusque chez moi!!! Allons, je voulais juste vous donner aussi une part de bonheur... Désolé pour vous, Clara et Sergio, mais le mystère et son ombre seront votre seule réponse... et je conserve encore mon secret, mon trésor même si sur ma peau il transpire au dehors. Laissez moi le temps, l'espace et le néant même si je doute qu'ils effacent un jour le sourire de mon visage rond.
Plus de nom. Plus de verbe. Je vais clore le sujet pour ne pas déranger et garder pour moi seul la part de mes secrets.

Un Ange qui vole c'est un Ange passe et le silence se fait...

1833

1834


en 1834 pensez-vous qu'à Saint Claude ils savaient déjà tailler les pipes
en bois bien sûr

1835

1836

1839

Je suis serein!!!

1840 coucou au visiteur qui se reconnaîtra...

1841

1841

Je me sens des envies dythirambiques. Je ne vois plus le jour et ne connais pas la nuit... Je vis entre ces mondes. Mon univers. Au dehors des sirènes, encore et toujours, s'éloignent vers un inconnu dont elles semblaient déjà venir. Il est des moments où l'immortalité semble nous atteindre. Rien ne peut arriver qui nous toucherait de près.
Dans le silence qui m'étreint j'entends encore des sons. Echos qui se dispersent en humides plaisirs. Non! Ne dites rien! Je l'entends qui sourit. Je mélange mes mots comme se mélangent nos doigts. Et je parle à mi voix, à mi mots à minuit. Dans une oreille qui surplombe un cou si délicat. Là, je l'entends qui respire et soudain se détend. Allongée au creux de mon bras, la tête sur mon torse large et accueillant. J'entends battre mon coeur comme je sens le sien. Deux paupières baissées lui cachent mon sourire. Une mèche. Une oreille. Et quand je la regarde je vois des étincelles. La quiétude seule la couvre le reste est superflu. Un drap de plaisir. Un lit de mon corps. Et, comme il y a eu urgence, une chaussure noire encore posée sur le lit. On a bien eu raison de dire champ de bataille! Des vêtements, premières victimes à être tombées! Un tablette renversée. Mon tour d'horizon, quoiqu'assez limité, me fait découvrir les restes d'une passion, d'une fièvre. Monter, descendre. Aller, venir. Serrer, déserrer. Voir et entendre sans pouvoir arrêter. Tombée au champ d'honneur... Gisante... Rassasiée... Et son odeur sucrée qui semble taquiner mes narines...
Non, dormir n'est pas un avenir... Immobile, il semble que je puisse la regarder pour l'éternité.
Dors mon ange... Demain nous serons là...

T'inquiète Sergio, je vais très bien.
T'inquiète Clara tu ne sauras rien!
Cette nuit de raideur m'a tant apporté
de joie de bonheur que je dors éveillé

1842

Bonne nuit les anges...

1843
Bonne nuit!!!

1844

bonne nuit aussi

1845 Bonjour les Anges !

1846 et bé

bonjour les anges

1847 Salut Clara, t'es passée hier soir sur TF1

1848

Ruée vers l'or aux Etats-Unis. Cette aventure est narrée par Blaise Cendrars dans son roman "L'or"
Si ma mémoire est bonne il se termine par cette phrase (ou pas loin) : "J'étais un homme riche et l'or m'a ruiné."

Mais je m'en moque, je crois que je n'ai pas été seul cette nuit... ni ce matin quelque part...

J'oubliais, 1848, ce n'est pas aussi en rapport avec le chocolat?

1849, très énigmatique notre Jef

1850

Punaise ce Jeff un vrai romancier.

1851 Effectivement un vrai romancier...Il est en forme en ce moment lol...

1852

1853

1854

J'ai regardé le ciel, il manquait une étoile...

Aujourd'hui le temps s'est arrêté. Pas une heure, une journée entière! Un silence, une absence. Mes mains inutiles, mon sourire pour moi seul...
Peu à peu tout me happe...
L'avenir sera hier et le présent demain. Aujourd'hui un passé et pourtant si présent. Mais chut... Mes paupières sont baissées et je vois l'infini...

Merci des compliments 2BEUL...